Histoire bulgare : l'Apogée de la Grande Bulgarie

Khan Kubrat et l'Apogée de la Grande Bulgarie, 632-651 ap J.-C.

En 632 ap J.-C., selon le compte de chroniqueurs Byzantins, khan Kubrat - le khan de Bulgares, s'est utilisé de la puissance échouant du Turkut khagan, a secoué le vassal vieillissent sa tribu était dans et s'est déclaré un dirigeant indépendant. Pratiquement toutes les tribus bulgares vivant dans la région de la Mer Noire, la Mer d'Azov et la Mer Caspienne immédiatement unie sous lui. La formation semblable à l'état nouvellement fondée n'était pas évidemment une alliance militaire-tribale comme il n'y avait eu aucune telle catégorie légale dans l'antiquité, mais c'était un état. Comme tel, il avait un territoire strictement décrit, son administration propre, des lois uniformes (probablement basé sur la loi usuelle observée par les tribus bulgares) et sa politique étrangère propre. Il est vu comme un état tant dans les rapports historiques bulgares de ce temps que dans les annales de la Byzance. Les hommes d'Etat Byzantins et les chroniqueurs l'ont mentionné comme la Bulgarie ou la même Grande Bulgarie. Ce n'est aucun accident que de ce temps les noms individuels de toutes les tribus bulgares ont été supprimés de chaque page écrite par les chroniqueurs antiques. Les bulgares étaient le seul nom utilisé ensuite. (carte)

La citation de Kubrat, le khan de Bulgares, dans les Annales &127;Short ” du chroniqueur antique Nicephorus, Patriarche de la Byzance (édition de Karl de Boor, 24, 9-12).

"Dans le même temps, Kubrat, le neveu d'Organa, le khan de Hunogunduri, levé contre le khagane d'Avars et il a terriblement maltraité avec l'armée il avait de lui [khagane] et l'a poursuivi de sa terre. Après qu'il a envoyé aux représentants à Heracleus et ils ont conclu la paix qu'ils ont préservée jusqu'à leur fin. L'Empereur lui a envoyé des cadeaux et lui a accordé le titre de patricien."

Aucune source ne porte n'importe quelle preuve des Turcs neutralisant l'entreprise de Kubrat. Évidemment, le khanate n'avait pas de capacité militaire pour faire les tribus bulgares dissidentes revenir à leur état. Apparemment, les Khazars se sont détachés de la même manière et en même temps.

L'information maigre qui nous a réduit de chroniques Byzantinnes et arméniennes permet de déterminer, quoiqu'avec un peu de doute, les frontières de la Grande Bulgarie : le cours inférieur de Danube à l'ouest, le Noir et les mers Azov au sud, la rivière Kuban à l'est et la rivière Donets au nord. Basé sur quelques suppositions est l'information sur le capital(la capitale) de la Vieille Grande Bulgarie. Il était à la ville de Phanagoria sur la côte de la Mer Azov.

Il est clair que khan Kubrat était un homme qui avait acquis en Byzance la grande connaissance de la structure et du fonctionnement de la machinerie d'état et qui, sans doute, avaient essayé d'établir une administration parfaitement réalisable dans son nouvel état après l'approvisionnement de cela conformément aux conditions locales et à la tradition. La Vieille Grande Bulgarie a été gouvernée(décidée) par un khan qui a pris les décisions après la discussion d'eux avec le Conseil de Grand Boyls. Son député, efficacement le deuxième homme dans la hiérarchie administrative, était le kavkhan. Le troisième homme était le lchirguboyl. Eux deux étaient des officiers de haut rang dans l'administration et dans la chaîne de commande. À temps de guerre ils étaient responsables de grandes unités d'armée. La pratique de combiner des responsabilités administratives et militaires a été appliquée à tous les rangs en bas l'échelle de hiérarchie, aussi.

Khan Kubrat et la Byzance

Il est regrettable que les rapports antiques contiennent très petite information sur la politique domestique(intérieure) et internationale de la Bulgarie dans le règne de Kubrat khan. Levé et instruit en Byzance, baptisée comme un Chrétien et connu comme un ami proche d'empereur Heraclius, le khan a entretenu des relations amicales paisibles avec l'empire en haut jusqu'à la fin de sa règle(autorité). Dans 635 ap J.-C. ces relations ont été impressionné d'une signature et un cachet fixé un accord entre états - un acte indirect d'identification du nouvel état. Khan Kubrat a été honoré du titre d'un patricien. En jugeant par quelques événements après la mort d'Heraclius, nous pourrions dire que l'amitié de Kubrat khan avec l'empereur avait d'une nature purement humaine, aussi. Le risque de relations empirantes avec la Byzance, sur la mort de l'empereur dans 642 ap J.-C., khan Kubrat a soutenu sa veuve Martina et leurs enfants à qui il avait été fortement attaché, dans leur bataille contre le trône de l'empereur.

L'appui décisif de Kubrat khan à Martina, la veuve de son ami, l'empereur Heraclius et son fils Heraclonas, est décrit dans la Chronique de John, l'Évêque de Nikiou. Cette Chronique est écrite par John, l'Évêque de Nikiou en grec à VII siècle. Il est traduit dans l'arabe et après dans l'Ethiopien dans 1601. [Voir K. Krumbacher. Geschichte der byzantischen Literatur. Munchen, 1897, S. 403-404.] le texte original n'est pas en grec disponible. 

Le texte en français comme traduit d'Ethiopien à français par H. Zotenberg. (Chronique de Jean, évêque de Nikiou. Texte éthiopien publié et traduit par Zotenberg. - Notices et extraits des manuscrits de la Bibliothèque nationale, l. 24, 1883, p. 590. )

"Lorsque ces faits furent connus a Byzance; on disait que cette affaire avait été inspirée par Quetrades [Kubratos], chef du peuple des Moutanes [Bulgares], fils du frère de Kuemaka [Organa]. Cet homme avait été reçu dans le sein du christianisme et baptiste, étant enfant, a Constantinople, et avait grandi dans le palais impérial. Apres la mort d'Héraclius Ier, avec lequel il avait été intimement lié, et qui l'avait comblé de bienfaits, il restait attache par reconnaissance a ses enfants et a sa femme Martine."

Le même texte en anglais la chronique de John, Évêque de Nikiou, Traduit par R.H. Charles, Londres, 1916, p. 196-197, CXX 46-50.:

" … and when the inhabitants of Byzantium heard this news, they said: "This project is concerned with Kubratos, chief of the Huns, the nephew of Organa, who was baptised in the city of Constantinople, and received into the Christian community in his childhood and had grown up in the imperial palace." And between him and the elder Heraclius great affection and peace had prevailed, and after Heraclius's death he had shown his affection to his sons and his wife Marina because of the kindness (Heraclius) had shown him."

Selon le chroniqueur Jeanne, l'Évêque de Nikiou, juste les nouvelles de khan Kubrat confirmant Martina et ses enfants étaient montées dans des bras(armes) dans leur appui les gens et l'armée de Constantinople sous certain Jutalius, le fils de Constantine. La chronique éthiopienne perd aussi la lumière sur le fait que khan Kubrat était déjà dans le conflit avec quelques tribus barbares le long de la frontière. Cependant, son étant baptisé comme un Chrétien a aidé ses troupes à être victorieux. C'était le plus probablement le début du conflit sérieux avec les Khazars qui plus tard, après la mort de Kubrat, arracher les territoires orientales de l'état et forcer khan Asparukh de chercher l'expansion territoriale et une ville pour un capital(une capitale) quelque part au sud de Danube.

La guerre avec l'état des Khazars était la deuxième et dernière occasion sur laquelle de ce temps-là chroniqueurs ont voulu enregistrer un événement des relations de l'état bulgare avec d'autres états au moment de l'autorité de Kubrat khan. Le reste des peuples voisins était plutôt lâchement - tricotent pour essayer leur force contre les Bulgares ou soumettre n'importe quelles revendications sur eux. L'état khazar, établi sur la côte Caspienne de Mer du nord, s'est proclamé un successeur du Turkic khanate et, sur ces raisons(terres), a revendiqué tous ses anciens pays et tribus à l'est. Cependant, c'était eux qui ont formé le territoire la population de Bulgarie.

Le conflit a semblé imminent et inévitable mais ses vicissitudes ne nous étaient jamais fâcheusement devenues connues. Quelques sources indirectes de référence, comme cité ci-dessus, indiquent que les raids avaient été battus d'avec succès, au moins en haut jusqu'à la mort de Kubrat.

Une étude proche du texte d'une légende médiévale, citée comme un exemple de sagesse politique, a révélé(produit) une certaine information sur les opinions publiques bulgares après la guerre durable avec les Khazars. C'est la légende qui nous a réduit de chroniqueurs Byzantins. Il va qu'à son lit mortel khan Kubrat offrent ses fils pour casser(violer) un paquet de brindilles de vigne. Aucun d'eux succédé. Alors Kubrat, lui-même, a pris la vigne tue et les a cassés(violés) un à un de ses vieilles mains frêles. La morale était claire - tant que les Bulgares et leurs leaders politiques sont unis, la Bulgarie sera invincible. S'ils ont permis une fente ou une dissension dans leur communauté et dans leurs actions, ils seraient détruits un à un, causant la Bulgarie être balayé, aussi.

En voulant donner cette leçon à sa famille la plus proche, khan Kubrat doit avoir eu des doutes sérieux et des soucis de quelques tendances dans l'habileté politique politique bulgare engendrée par l'invasion khazar. Et ces doutes ont été bien justifiés. La répulsion couronnée de succès des raids khazars était aux dépens de nombreuses victimes et de lourdes pertes pour l'économie. Les pays bulgares étaient toutes les plaines n'offrant aucun abri naturel et étant ainsi une cible de pillage facile pour la cavalerie de khazar attaquante. Peut-être des centaines de villages, la récolte et des troupeaux avaient été pillées ou incendier avant que les troupes bulgares ne pourraient placer, maîtriser et détruire finalement les envahisseurs khazars. La plupart des Bulgares étaient conscients que leurs pays ont occupé une position stratégique à la jonction principale d'itinéraires appelés la Grande Route des peuples migrant de l'Asie et l'Europe et que même si les raids khazars contre la Bulgarie ont été arrêtés et les Khazars complètement détruits, d'autres peuples se précipiteraient bientôt pour prendre leur place à la vitesse de foudre. Les événements qui ont suivi la mort de Kubrat khan indiquent que la partie des Bulgares, ou plutôt leurs leaders politiques, avait insisté sur l'état étant défendu seulement dans ses territoires existantes (khan Kubrat avait évidemment(apparemment) appartenu à ce groupe et son pouvoir(puissance) suprême et le prestige avait ceux qui n'ont pas été d'accord avec sa politique(police) s'abstiennent de l'action). Maintenant, ayant longtemps compris que les perspectives pour tenir ces territoires intact étaient très minces, ils ont aussi commencé à insister sur des nouveaux pays vainquants bénis avec la défense naturelle mise, des ressources naturelles et le meilleur climat. Comment - jamais, dans ce groupe étaient là aussi en conflit des avis : Certains d'entre eux ont insisté en recherche de ces nouveaux pays assez loin de la Route des peuples et de formations voisines fortes d'état; les autres ont été concernés seulement de la qualité des nouveaux pays et n'avaient aucune crainte quant à n'importe quels compétiteurs potentiels de leurs biens. Comme la preuve de l'existence d'une telle diversité vient le fait que sur la mort de Kubrat khan quelques Bulgares partent au nord et ont fondé un nouvel état près du cours supérieur de la Volga, tandis que d'autres étendus Bulgarie dans des territoires au sud de Danube et ont déplacé la capitale là.

Les découvertes archéologiques sur la morte de Khan Kubrat en Ukraine

Kubrat est mort dans 651 ap J.-C.. On a une fois cru que c'était arrivé dans Phanagoria, la capitale de ses royaumes. Cependant, la nouvelle lecture d'un enterrement somptueux, avancé(promu) par l'universitaire allemand Joachim Werner, montre que Kubrat était mort des centaines de kilomètres plus loin jusqu'au nord, dans les steppes actuelles de l'Ukraine. L'interprétation du savant allemand a aussi permis de prendre regardent mieux les derniers efforts du khan's comme un homme d'Etat. Il vaut la peine de consacrer un certain espace à la fin de ce grand leader bulgare et à son dernier lieu de repos.

IEn 1912 on a découvert un enterrement exceptionnellement riche dans les dunes de sable de la rivière Vorskla près du village ukrainien de Malaya Pereshchepina , 13 km de distance de la ville de Poltava. Le décédé a été enterré dans un cercueil en bois, mettre(jeu) avec 250 plats rectangulaires d'or, 6.5x5.5 le cm chacun. Un numéro(nombre) considérable d'ustensiles faits de métaux précieux (20 argent et 17 or), des bras(armes) incrustés du métal précieux, une corne d'or et une cuillère d'or - les symboles d'autorité, 69 pièces de monnaie d'or, une boucle d'or pesant presque la moitié d'un kilogramme, des anneaux d'or, a etc été arrangé autour du corps. Le trouvant évidemment fait ses premiers chercheurs spécifient l'enterrement comme le dernier domicile de non seulement un chef riche ou de haute naissance, mais aussi le chef d'Etat de n'importe laquelle des formations barbares qui avaient possédé ces pays pendant n'importe quelle durée.

Les ustensiles n'avaient d'aucune grande importance pour déterminer 'l'âge' précis du trésor puisque(depuis que) ils avaient évidemment été rassemblés au cours d'une période de 200 ans. Cependant, les pièces de monnaie 'les plus jeunes' d'empereur Constantine II de la Byzance ont été datées 647 ap J.-C.. Cela a donné la preuve claire que l'enterrement avait eu lieu après cette date. Certains des pots, une partie intégrante des cultes Chrétiens, ont indiqué que l'homme enterré était un Chrétien.

Les susdits faits l'avance(le plomb) seule à la conclusion celui de tous potentats possibles qui avaient gouverné(décidé) des tribus ou des états dans ces temps, khan Kubrat étaient celui correspondant aux découvertes archéologiques concernant l'enterrement près de Malaya Pereshchepina. En 1983 docteur W. Seibt de l'Institut d'Études Byzantin à Vienne a réussi à deviner les monogrammes sur les deux chevalières d'or comme Kkubratu et Khubratu Patrichiu. Il n'y avait aucun nouveau doute qu'en 1912 les archéologues russes avaient découvert le tombeau de khan Kubrat, le fondateur de la Grande Bulgarie.

La place de l'enterrement qui était dans le point le plus éloigné du nord de l'état, des centaines de kilomètres loin de son capital(capitale), met dans une lumière totalement différente les jours derniers dans la vie du grand bulgare. Il apparaît maintenant qu'il n'a pas rencontré sa mort comme un homme décrépit et malade. En fait, si dans 610 ap J.-C. il était toujours un enfant, ensuite dans 651 ap J.-C. le khan doit avoir été des 55 ou un homme de 60 ans dans le principal de sa vie. Il est seulement logique de supposer qu'il menait ses troupes pour repousser un autre raid consécutif des Khazars mais, cette fois le dernier a été pris au dépourvu et défait à la même ligne de démarcation. L'enterrement lui-même certifie la défaite des khazars et l'exil. Le cercueil cher particulièrement fait, les cadeaux d'enterrement prodigues et l'observance stricte des rites ont montré que les obsèques avaient eu lieu dans une atmosphère paisible. Si c'était une défaite, le khan n'aurait pas été enterré du tout.

Alors comment le dirigeant(la règle) bulgare a-t-il décédé ? A-t-il été pris au lit avec une maladie déloyale au moment du mars de combat, ou est-il tombé pendant le combat avec une épée dans sa main, ou est-il mort de ses blessures après la bataille victorieuse ? Cela, malheureusement, nous ne savons(connaissons) pas exactement, mais en fait, il ne fait aucune différence du tout. Khan Kubrat est mort dans une bataille défensive, sauvegardant la Bulgarie. Il y a quelque chose d'autre qui a aussi causé la confusion : pourquoi le corps du khan's n'a pas été retiré au capital(à la capitale) et enterré là avec les mêmes honneurs ? Et pourquoi était sa voûte érigée à la frontière lui-même Il semble que khan Kubrat a eu le temps avant qu'il ne soit mort pour obliger ses commandants l'enterrent là, directement sur la ligne de démarcation. De cette façon, il avait transformé son dernier lieu de repos en défenseur de la Bulgarie, aussi. L'ennemi ne pouvait pas se permettre des pas impuni une tombe bulgare parce qu'ils ont chéri haut le culte à leurs ancêtres. Ainsi, même avec son tombeau khan Kubrat mettent ses successeurs conformément à l'obligation de défendre les frontières de la Bulgarie dans la mort.

 Neytcho Iltchev, 2001

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